Chronique, la naissance de Arion, préface.

Préface: Chapitre premier : Valanor

Un murmure ponctué d'un cris de douleur, voilà comment naquis le petit Arion.
Valaros puissant mage et fidèle servant du dieu Haralas était en guerre avec ces nombreux frères.

Un épais brouillard couvait une immense plaine portant le doux nom de Celohnna. Vaste pâturage où autrefois la faune et la flore étaient abondantes.

D’immenses armées s’affrontaient depuis des lunes. Les cris des vaincus résonnaient jusqu’au Monts Astan.

Le combat n’étais pas le fait uniquement des guerriers, des mages puissants déferlaient par vague successive et balayaient des bataillons entiers en quelque seconde. Les puissants sorts des mages changeaient petit à petit le relief autrefois paisible des plaines de Celhonna en vaste champ de guerre ravagé.
Au loin, une corne sonna et émit un puissant champ de guerre. La cavalerie venant de l’est chargea les flans des mages qui continuaient leurs massacres.

Valaros frappa le flanc de son destrier et vint au plus vite prévenir ses frères de leur futur déclin.Une puissante déflagration se produit et Valaros fut projeté quelques mètre plus loin.

Le cheval mort par la violence de l’explosion, Valaros courrait aussi vite que ces jambes lui permettaient. Reprenant progressivement ses esprits, Valaros insista impuissant au massacre de ces nombreux frères.Les mages surpris furent les uns après les autres égorgés et froidement supprimés.

Laissant courir la colère en lui, Valaros clamait au et fort une litanie dans une langue méconnue.Les cavaliers après leurs récent massacres prirent Valaros en chasse.

La cavalerie n’était plus qu’a quelque mètre lorsque Valaros laissa cour à son immense colère.Une mort invisible frappa violement les nombreux cavaliers.
Des cris inhumains sortaient de leurs bouches et leurs visages exprimaient une grande terreur.

Une vingtaine de corps sans vie gisaient à même le sol.Un puissant râle sortit de la bouche de Valaros entamant sérieusement le courage de ces ennemis.

Un nouveau cri déchira une nuit de plus en plus présente. Les guerriers d’Haralas firent leur apparition et vinrent prêter main forte aux mages.

La bataille dura 3 printemps ponctué de longue trêve. Les escarmouches étaient nombreuses, les morts se comptaient par millier. Nuls camps n’étaient encore victorieux.

Les villes se vidaient progressivement. De jeunes garçons n’ayant pas encore atteint leur adolescence furent appelé sous les bannières.
Les mères pleuraient leurs fils qu’elles ne reverraient sans doute jamais.

La dernière bataille allait sceller à jamais le destin de ce vaste monde.
Le Dieux Haramas suivit de ces fidèles déferlèrent en force.

Fin stratège Valaros prit en tenaille la dernière poche de résistance et remporta la bataille. Nul prisonniers, nul survivants, tous furent égorgé et brûlés.

Harralas régnait en maître sur les terres de Whauk accompagné de son bras droit Valaros. Les ténèbres étaient partout, Harralas maître de ce vaste monde oppressaient les derniers survivants.

L’inévitable advint, la méfiance de moins en moins présent, de nombreuses révoltes éclatèrent et les fidèles d’Harralas eurent de plus en plus de mal à les contenir.L’apparition du Dieu Fargas mit fin au long règne d’Harralas.

La résistance bien organisé sous le règne de Fargas dieu du Feu reprenaient petit à petit du terrain.Les troupes de Valaros subirent de nombreuses défaites jusqu’à être complètement mise en fuite.

Certains compte qu’ Harralas et son bras droit Valaros furent détruit par Fargas . Les autres avances qu’ils se sont exilés et qu’ils reviendront encore plus puissant.

Luna une très belle femme continua l’apprentissage de son fils Arion lui inculquant les nombreuses théorie d’Harralas et lui comptant les exploits de son père.

Les fidèles d’Harralas était recherché et brûlé. La persécution était telle que de nombreux innocents furent injustement assassinés.Malgré leurs disparitions, Harralas et Valanor semaient encore la terreur au sein des contrés de Whauk.

Arion à la surprise de sa mère n’avait aucun don pour la magie. Mais il se révéla être un puissant guerrier dés son plus jeune âge.D’une grande célérité, il avait le don de deviner les intentions de ces ennemis et était aussi fin stratège que son père.

Arion revêtit la robe de son père, une aura puissante émana du vêtement. Tel un héritage, la force de son père coulait à présent dans ces veines.Quittant le foyer, Arion était en quête de son destin.

Il le savait, Harralas et son père Valanor attendait beaucoup de lui et il ne les décevrait pas.


Chronique datant de l'âge sombre, vieux manuscrit comptant la vie de Valanor
et Harralas avant la venue d' Arion.

Second préface :Luna femme de Valanor

La mère d’Arion ne s’était pas trompée. Son fils dés son plus jeune âge possédrait de nombreux dons.

Même si par nature, Luna semblait une femme banale. Elle était autrefois le chef d’un puissant détachement nommé les assassins de l’ombre. Luna avait quitté le groupe de guerrier afin de consacrer son temps à l’éducation du petit Arion.

La jeune Luna n’avait pas eu une vie facile. Fille d’un esclave. Elle avait du subir jour après jours la répression de ces bourreau qui abusaient d’elle sans cesse.

Petit à petit, un esprit de vengeance se forgea en elle et sa haine pour le monde qui l’avait si froidement accueilli lui permettait de survivre.

Luna accomplissait jour après jours des travaux normalement réalisé par des hommes. Rien ne pouvait entamer son enthousiasme. Un jour, elle en était sûre, elle quitterait à jamais cet enfer et se vengerais de ces nombreux bourreaux.

Son maître l’envoyait régulièrement porté de lourds sacs contenant de la farine pour le boulanger. Ce dernier plus clément, était l’unique personne qui s’inquiétait vraiment de l’état de la jeune Luna.

Il n’était par rare que Luna pleure dans les bras bienveillant du boulanger. Ce dernier un véritable soutient, la gratifiait de nombreux conseils et l’aidait à surmonter son terrible fardeau.

L’âge sombre atteint enfin son apogée et de nombreux hommes furent enrôlés sous les bannières du dieu Haralas.

Le maître bien trop âgés pour aller au combat, céda sans la moindre pitié Luna à un chef de bataillon.

La guerre c’est pour les hommes ! nous avons besoins de combattants pas de catins !dit le Guerrier.

Mon bon monsieur, c’est jeune fille est une vrai tigresse, quelques jours d’entraînement et elle fera des ravages dans le camps ennemi dit le boulanger d’un rire mauvais.

Ferme là ! je n’ai que faire de tes paroles, retourne travailler !.

Bien malgré elle, Luna fut enrôlé dans un des bataillons qui partirait bientôt pour la guerre sous la bannière d’Haralas.

Quelques jours d’entraînement, Luna se révéla être une guerrière hors du commun, rapide et maligne elle devenait une fierté pour son bataillon. Sa maîtrise dans l’art du combat, lui valait d’être dispensé de se rendre sous les tentes des nombreux guerriers.

Devenant de plus en plus forte, elle gagnait en notoriété et était de plus en plus respectée par la grande armée. Cependant, tout le monde ne vit pas du même œil l’avancée de Luna au sein de la hiérarchie.

Revenant d’un long entraînement, Luna empruntait comme à l’accoutumer un petit sentier qui la menait rapidement à ces appartements. Deux grands guerriers firent leur apparition et jouèrent de leurs muscles pour impressionner la jeune guerrière.

Luna pouvait sentir l’halène putride de son interlocuteur.
Que voulez vous . dit Luna sous un ton de défit.

A peine sa phrase achevée, l’un des guerriers lui décocha un coup de poing magistral qui lui fit perdre l’équilibre. Les deux guerriers ricanaient bêtement fière de leur basse besogne.

Tout en se relevant, Luna décocha son épée et chargea ses deux agresseurs. Les deux guerriers tentèrent d’esquiver mais la célérité de la guerrière en décida autrement. L’un des guerriers tomba lourdement sur le sol la gorge fraîchement tranchée.

L’autre guerrier surpris dans un élan de colère tenta de décapiter la jeune guerrière, mais son geste puissant mais bien trop lent percuta de plus fouet le milieu d’un arbre. Le tranchant de l’épée enfoncée dans la chair de l’arbre, le guerrier se débattait désespérément.

Luna approcha lentement du guerrier et lui trancha net l’avant bras. Le guerrier hurlait de douleurs et Luna riait de plus belle avant de décapiter son bourreau. La jeune guerrière prit congé avant de retourner dans ses appartements.

Le lendemain changea définitivement le destin de la jeune Luna. Tout le camps avait eu vent du fameux combat entre Luna et les deux guerriers. De nature discrète, elle répondit au acclamation par de futile salut de la main.


Le lendemain à son réveil, Luna découvrait une missive au pied de la porte. Un cachet de cire rouge renfermait la précieuse lettre. Sortant délicatement la lettre de l’enveloppe, Luna lit tranquillement le contenu de la lettre. Un large sourire apparût ponctué de larmes de joies.

Les nombreux services réalisés pour le bien de la nation, les nombreux vétérans qui la ventait des ces exploit de guerrier avait atteint les plus grandes sphère des dirigeants. Luna était convié ce soir même à ce rendre au bastion ou les plus grandes instances et les dirigeants de ce monde se rencontrait autour de rares victuailles.

Endossant sa plus belle robe, Luna pour la première fois était féminine. Les nombreuses défroques qu’elle portait depuis sa naissance ne l’avaient jamais mise en valeur. Pénétrant dans le grand hall du bastion, de nombreuses révérences saluaient l’arrivée de la grande guerrière.

Un homme aux yeux gris vert prit la main de Luna et la baisa langoureusement. Luna était quelqu’un de très pudique et tout homme qui avait osé la toucher reposait à présent sous terre. Cependant cet homme n’était pas comme les autres. Sa prestance et l’aura qu’il dégageait était tout simplement admirable.

C’est un honneur de vous rencontrer dame Luna dit l’inconnu.

moi de même , monsieur…. Quel est votre nomdit Luna.

Je suis Valanor. Vous êtes ravissante très chère, je n’aurais pas cru que la mort elle-même était si belle dit Valanor

Luna visiblement embarrassé répondit par un petit sourire. Valanor accompagné de Luna parcoururent la salle entière. Tous furent honorés de rencontrer la jeune guerrière.

Sacher dame Luna, que cette petite fête n’est pas l’unique raison de votre venue. Vos exploits ont atteints les oreilles de notre maître. J’ai l’honneur de vous annoncer que vous serez à compter d’aujourd’hui la dirigeante des assassins de l’ombre.

Luna n’en croyait pas ces oreilles, elle qui avait vu le jour dans le plus bas de la hiérarchie. Elle était subitement propulsée au rang de chef de guerre. Vidant le contenu de son verre, il lui fallut plusieurs minutes avant de reprendre ces esprits.

Les assassins de l’ombre sont une unité guerrière secrète ma chère. Seul deux personnes connaissaient leur existence, notre bienveillant maître et moi-même….. Vous serez la troisième personne. Les assassins de l’ombre compte l’élite des mages et des guerriers.

De nombreux vétérans ayant connu de nombreuses guerres et de jeunes recrues ayant un véritable don font partie de ce groupe. Vous êtes très jeune et pourtant vous avez déjà l’étoffe d’un grand guerrier.

Outre la puissante armée de notre maître. Les assassins de l’ombre pèsent lourd dans les victoires. Ils ont tout d’abord un rôle d’espion. Leur seconde spécialité est due à leur nom.

S’insinuant tel des ombres dans le camp ennemi, il tue par dizaines des guerriers. Ils sont la coupure qui provoque la gangrène. L’ennemi pourrait être comparé à un papillon. Les assassins de l’ombre lui coupe les ailes. Provoquant des dommages important. Le gros de l’armé n’a plus que contenir et finir le travaille. dit Valanor.

Je ne sais pas si je serais capable de supporter une telle responsabilité maître Valanor. Je ne suis qu’une fille d’un exclave, exclave moi-même d’un porc. dit Luna les larmes aux yeux.

Justement ma petite Luna, vous êtes toute indiquée pour cette mission. Vous avez eu une enfance douloureuse, la souffrance faisait partie intégrante de votre vie et vous n’avez pas abandonné. Vous êtes très forte et vous ne le savez pas encore. Laisser votre colère s’emparer de vous.




Copiryght: Lionel Reina

Fin du préface : Union de Valanor et Luna et domination d'Haralas sur le monde



Une cinquantaine de soldat le genoux à terre attendait les ordres de leur général. Le vent particulièrement piquant cette nuit rendait les conditions de vie bien difficile.

Marchant d’un pas certain, Luna général des assassins de l’ombre marchait parmi ces troupes s’inquiétant de leur santé. Tous, le regard fier ne firent la moindre objection lorsque leur général leur indiquait qu’il marcherait durant deux nuits sans le moindre repos.

Valanor n’avait pas menti, les assassins de l’ombre étaient la crème des guerriers. les plus puissants et les plus courageux. D’une part, personne n’osait contester les ordres de Luna car elle-même endurait ce que chaque guerrier supportait.

Le bataillon marchait à présent depuis deux lunes et continuait inlassablement leur avancé jusqu’à leur prochain objectif. A la surprise des troupes, Luna ordonna un repos.

Général Luna il n’est peut être pas judicieux de s’arrêter maintenant, nous sommes à une journée du point de rendez-vous dit un lieutenant.

Lieutenant, mes guerriers doivent arriver en pleine forme pour le combat qui les attends. Je n’enverrais pas des hommes excédé par la fatigue dans une bataille dit Luna.

Le lieutenant prit congé et confirma le repos mérité à ces troupes. De petit feu de camp sortirent de terre et pour la première fois depuis des semaines, chaque guerrier profita pleinement de se repos.

A la lueur des flammes, Luna vint se poster devant ces guerriers et tous l’écoutèrent.



Mes braves guerriers !

Assassin de L’ombre ! Nous sommes aujourd’hui à une journée de marche de notre objectif. Vous êtes l’élite, vous ne connaissez par la peur. Votre courage est sans faille, cela fait un mois que nous voyageons ensemble et nul ne s’est plaint !


Ces déclarations furent ponctuées de cris de joies


Je peux vous assurez que Haralas est fière de vous, il vous regarde. Il voit ses enfants se battrent pour lui.

Ellenmarïl est proche ! Cette ville est le dernier bastion de nos ennemis, tel des rats ils s’y cachent attendant leur propre mort.

Mais il ne serait pas judicieux de sous-estimer notre ennemi. Certes nous sommes des guerriers sans pitié mais nous sommes également de fin stratège.

Les murailles de cette cité sont peut être épais mais elles cèderont je vous le promet !.

Nous attendrons le gros de l’armée dirigé par Valanor lui-même. Vous n’avez pas oublié votre rôle. Nous blesserons mortellement notre ennemi. Le couperons de toutes retraites possibles.

Ellenmarïl compte certainement les meilleures archer de cette contrée, mais nos boucliers sont épais et à aucun moment je ne vous abandonnerais.

Luna sortit un nombre impressionnant de parchemins. La plupart représentait de nombreuses esquissent représentant des plans détaillés de la ville. La réunion dura trois heures avait que tous retourne sous les tentes.

L’aube fit son apparition, les troupes resserraient leurs armures, aiguisait méticuleusement les armes.

La terre tremblait annonçant l’arrivée imminente de l’armée de Halaras dirigé par le grand Valanor. Posant pied à terre, Valanor se dirigeait à présent vers Luna.

Général Luna, je suis heureux de vous revoir saine et sauve. Je vois que vos troupes sont toutes en pleine forme et je peux sentir leur motivation pour le combat qui nous attends.

Mmm maître Valanor, nous sommes prêt pour la bataille. Nos espions nous ont rapporté des informations vitales. Le flan Est de la ville semble l’endroit le moins protégé. L’ennemi a délaissé volontairement cette partie de la ville car cet endroit est particulièrement accidenté. dit Luna.

C’est du beau travail ma petite Luna. Ce long voyage vous à davantage assagit. Vos troupes attaqueront donc le flanc Est de la ville nous sommes d’accord. Lorsque vous aurez détruit la plupart des défenses qui menaceraient nos guerrier faites sonné le cors d’Haralas.

Puis-je m’inviter dans votre tente dame Luna car notre chariot de victuaille a été attaqué. Mes effets m’ont été dérobés par l’ennemi.



Les assassins de l’ombre sous le commandement de Luna se mirent en route. Tel des rôdeurs, ils parvinrent à s’insinuer au-delà du flanc Est de la ville. La plupart des vigiles de la ville furent égorgé sans pouvoir voir leurs bourreaux.

Les mages avec l’aide de leur puissant sort entamèrent progressivement l’épaisse muraille pendant que de nombreux assassins empruntaient d’immense échelle pour pénétrer dans la ville.

Les cloches de la ville résonnèrent. La panique et la mort s’insinuaient progressivement dans l’immense ville.

Un cor résonna, Valanor et ses troupes marchèrent à présent sur la ville. Les archers d’Ellenmarïl perdirent leurs avantages, car même si le nombres de guerriers s’insinuant sur le flanc Est était nettement plus réduit au vue du relief accidenté. Il n’était pas préparé à une telle évasion.

De puissantes déflagrations résonnaient dans la ville témoignant de la puissance des sorts lancés par les mages. Les assassins de l’ombre exécutaient sans la moindre difficulté une armée ennemie complètement désemparée.

Le siège de la ville dura une demi journée. Une nouvelle victoire pour l’armée d’Haralas.

Le dieu Haralas vint lui-même féliciter ces troupes.

Mes enfants, ce jour restera sans doute un journée mémorable. Nos enfants seront que parmi c’est terres nous avons scellé la plus grand victoire. Une nouvelle ère commence. Nous n’aurons plus besoin de nous cacher comme des bêtes.

Nous avons du subir la répression des autres Dieu. Mais maintenant ils devront reconnaître notre puissance. Ellenmarîl à présent nous appartient, ce monde est nôtre à présent.


Nul pillage n’aura lieu, le commerce entre les villes aura toujours lieu.. L’ordre et la discipline seront les maîtres mots de ce nouveau monde.

Valanor mon plus fidèle bras droit sera à présent le dirigeant et le maître Ellenmarïl.

L’armé salua longuement la déclaration de leur divinité et saluèrent la nomination de Vallanor.

Ma première action en tant que dirigeant de cette ville sera de nommé ma moitié, nommé la dame de cette ville. ……..Dame Luna.dit Valanor.

Ce serait un honneur Valanor !dit Luna

Les festivités durèrent une semaine, fêtant l’emprise d’Haralas sur ce monde et par la même occasion l’union entre Valanor et Luna.

Le fruit de cette union sera mémorable et assurera j’en suis certain une grande lignée. Le plus grand mage et le plus grand guerrier viennent de s’unir. Qu’il tremble, car même si je dois succomber, ce petit poursuivra mon rêve. dit Le dieu Haralas pour lui-même.




Copiryght: Lionel Reina

Discussion entre un Enfant et son Grand père



Grand-père avez-vous déjà rencontré le Grand Haralas ? A quoi ressemble t’il, lui avez-vous déjà parlé ? dit un jeune garçon.

Rare sont ceux qui ont pu l’apercevoir. Alors les personnes lui ayant déjà parlé se compte sur les doigts de la main, mon petit. Ton père et ta mère ont eu cet honneur. Cet honneur est dû à leur grande loyauté. Ils sont les plus fidèles d’Haralas et ne l’on jamais déçus. Tu peux être fière de tes parents mon garçon. dit Elerion.

Quand pourrais-je le rencontrer grand-père ? J’aimerais tant le voir dit le jeune garçon.

oh oh oh, tu l’a déjà rencontré ! tu es sans doute le seul enfant à avoir été présenté à Haralas lui-même ! Mais tu étais encore très jeune à cette époque. Tu l’a sans doute oublié dit Elerion.

Je n’en peux plus grand-père. J’ai foi en Haralas mais je ne comprends pas tout ce qu’il dit. Pourquoi devons nous être si cruel envers les autres ?.

La faiblesse n’a pas sa place dans ce monde ! Tu dois être sans pitié mon garçon. L’amour, la bonté sont des sentiments que tu dois enfuir au plus profond de toi. C’est la loi du plus fort. Si tu baisses une fraction de temps ta garde, un autre te supprimera et prendra ta place.

Pourquoi grand-père devrions nous obéir à Haralas ? Pourquoi ne pourrions pas être libre de nous entendre avec les autres cultes ?

Elerion gifla le jeune garçon qui frottait sa joue virant au rouge.

Que sont ces paroles ! Tes parents sont mort et se sont dévoué à Haralas jusqu’à la fin pour que la paix baigne ces contrées. Tu bafouilles la mémoire de tes parents Arion ! dit Elerion.







Copyright: Lionel Reina

Les dures lois de la magie


Concentre toi mon petit, fais le vide en toi. La concentration est la base de tout mon garçon. Laisse courir en toi la haine. Tu as la bénédiction d’Haralas. Tu feras de grandes choses tout comme tes parents. Dit le vielle homme.

Comment pouvez vous en être sûr grand-père ? Je pourrais très bien n’être doté d’aucun pouvoir. J’ai bon me concentré je n’arrive pas à produire la moindre once de magie.dit Arion.

Tu dois être patient Arion, crois tu que la voie pour maîtriser la magie est si aisée ? Crois tu que la maîtrise de la magie est une question de jours ? Non mon garçon, jusqu’à la fin tu apprendras dit le vielle homme.

Grand-père cesser dont de me mentir, vous le voyez bien, je devrais déjà être capable d’utiliser un temps soi peu la magie. Je n’arrive même pas à maîtriser un sort basique.dit Arion.

Il est vrai mon garçon que ton apprentissage semble s’éterniser, mais cela ne veut rien dire en soit, garde la fois et continue de t’entraîner sérieusement chaque jours mon garçon dit le vieille Homme.

Mort et désolation.

Rien n’allait comme le souhaitait Elerion, Grand-père du jeune Arion. La magie ne voulait aucunement se manifester dans le corps de son petit fils. Il avait bon se concentrer. Arion ne parvenait pas à maîtriser et à faire apparaître la moindre once de magie.

Elerion était dans une rage folle. Pour lui, Arion ne faisait rien pour s’améliorer. Issus pourtant d’un grand mage, il devait logiquement suivre les traces de son défunt père.

Arion tu es la honte de la famille, tu es le fruit pourris qui condamne notre si belle lignée dit Elerion.

Cette déclaration cloua sur place le jeune Arion. Ce n’étais plus le tendre et chaleureux grand-père qui s’adressait à lui comme auparavant. Mais quelqu’un de haineux, qui ne supportait pas son impuissance à maîtriser la magie.

Vous êtes mauvais Grand-père. Les dieux l’ont décidé. Je n’ai aucun don pour maîtriser la magie ! Je suis Arion et non mon père dit Arion dans une colère naissante.

Un murmure suivit d’une décharge magique. Arion s’écroulait sur le sol hurlant de douleur.

Tu deviendras un grand mage, même si je dois violenter mon petit fils. J’ai été trop gentil avec toi. J’aurais dû être plus sévère. Relève toi !dit Elerion.

Pour la première fois, un regard haineux fit son apparition. Le jeune Arion s’éveillait à la haine. Arion décocha son épée appartenant autrefois à sa mère.

Lache cette arme de faible mon garçon. La magie est l’unique pouvoir. La magie à raison de tout. Et ce n’est pas avec ce vulgaire bout de fer que tu deviendra le plus fort. dit Elerion ponctuant d’un rire ironique.

Je n’ai jamais aimé la magie ! Si je dois me battre se sera en prônant le fer sur un champ de bataille ! dit Arion en colère.

Quoi ! Tu as délibérément repousser la magie !…. Depuis le début tu avais le don, tu as feint de ne pas le maîtriser !dit Elerion.

Un nouvel éclair s’abattit sur Arion qui parvint à l’esquiver.

Vous ne lèverez plus jamais la main sur moi !

Misérable vers de terre. Tout comme ta mère tu sembles n’être qu’un barbare avide de sang. Mais tu n’es qu’un faible tout comme elle l’était !

Pointant son arme sur son grand père. La haine envahit le jeune Arion qui se jetait à présent sur son grand père.

Soit, tu as choisis de périr ! J’avais fondé de grand espoir en toi mais tu n’es qu’un misérable. dit Elerion.

Elerion clamait haut et fort une incantation. Une énergie ténébreuse l’enveloppait à présent. Le soleil hau dans le ciel laissait inopinément sa place aux ténèbres. De grands nuages prenaient à présent place dans un ciel autrefois clément.

L’air devint morbide. La mort elle-même semblait s’être approprié le monde des vivants. Mort et désolation, les maîtres mots qui définissaient au mieux l’atmosphère qui baignait à présent l’endroit.

Aktar Mortem dit Elerion.

Arion fondant sur son grand père assista à la naissance d’un sort qui lui était inconnu. L’épée visant le coup de ce dernier. Arion n’avait plus rien à perdre. Il périrait sans doute face au pouvoir dévastateur de son grand père.

Un rayon rouge frappa de plein fouet le jeune Arion. A ce moment là, un puissant éclair déchira le ciel laissant peser un doute sur l’issue fatale de ce combat titanesque.

Seul la nature pouvait témoigner de la puissance du sort. La végétation aux alentours était complètement dévastée. Nul ne pouvait dire si Arion avait survécut …….







La suite pour bientôt : (L’issue d’un combat)





Copyright : Lionel Reina

L'issue d'un combat


La puissance du sort lancé par le mage Elerion avait tout balayé. La nature quelque peut présente ressemblait à présent à un paysage chaotique. Un lourd brouillard de poussière s’estompait lentement laissant deviné l’étendue des dégâts.

Se relevant sans paraître le moins du monde touché par la puissance de son sort, Elerion dépoussiérait sa longue tunique d’un vert émeraude. Cherchant du regard son petit fils, ce dernier semblait avoir disparût.

Mon pauvre garçon, tu n’avais aucune chance. Comment as-tu pensé une seule seconde pouvoir tenir tête au grand et puissant mage que je suis.

Repérant enfin le corps de son petit fils, Elerion contemplait la puissance de l’un de ces sorts les plus dévastateurs. Arion le teint livide remuait légèrement.

Tu as eu de la chance mon garçon, tu n’a perdu l’usage que d’un seul bras

Arion se relevait péniblement. Un filet de sang coulait de sa bouche. N’osant pas regarder l’état de son bras il marchait tel un mort avant ces derniers instant.

Alsaar versum Un nouveau sort faucha de plein fouet la jambe de Arion qui retombait une nouvelle fois sur le sol tout en poussant un cri de douleur.


Vous êtes fou grand-père ! Que dis-je …..Espèce de monstre !

Elerion contemplait son petit fils qui luttait désespérément contre la mort. Se relevant comme il le pouvait, sa jambe lui faisait subir mille tourments

J’en ai assez de voir ton regard, tu vas mourir tout comme ta misérable mère. Elle avait bon être une grande guerrière, ce n’est pas par le fer qu’elle a succombé mais par l’unique force en ce monde : la magie dit Elerion.

Vous mourrez pour avoir bafoué la mémoire de ma mère ! dit Arion.

Un rire macabre résonnait.

Pauvre fou, tu es a genoux, tu n’a plus qu’un bras valide. Il est temps que tu quittes se monde. Tu es une tare pour ce monde et Haralas n’a pas besoin de toi !

Mon sort de mort touchera sa cible cette fois–ci Adieux Arion dit Elerion.

Aktar Mooort

Un poignard vint se loger dans la poitrine du mage ne lui laissant pas terminer son invocation.

Arion regardait son grand-père s’effondrer. Son visage était aussi meurtri par la surprise que par la douleur.

Vous êtes trop lent grand père, la magie est certes un grand pouvoir, mais le fer aura encore beaucoup à dire sur les champs de batailles dit Arion avant de s’évanouir.









Pour toutes critiques ou suggestions, un pti message privé ça fait toujours plaisirs, de même pour toutes collaborations Rp




Copyright: Lionel Reina

L’éveil à la haine, la magie et la peine.

Nul ne pouvait deviner les sentiments d’un jeune garçon ayant tué de ces propres mains le dernier membre de sa famille. Nul larmes pour un être qui le haïssait et qui fondait des espoirs sur lui uniquement pour l’utiliser comme un pion.

Se concentrant et faisant le vide en lui, Arion fit appelle à la magie. Une boule de feu dansait lentement dans sa main droite. Se regardant dedans tel un miroir. Arion la fit s’évanouir à jamais.

C’était la dernière fois qu’il utiliserait la magie. Elle lui rappelait trop de mauvais souvenirs. Il en était conscient et il haïssait la moindre once de magie. Selon lui, les mages n’étaient que des lâches et utilisaient leurs sorts dévastateurs tout en gardant une distance très éloignée.

Le courage était parmi les hommes, les vrais. Ceux qui avait comme unique prolongement, une épée. Ceux-là au moins ne se cachaient pas. Arion regretta vite ses paroles en se rappelant que son défunt père n’était autre qu’un mage.

Depuis des mois son grand père Elerion l’incitait à utiliser la magie et il faisait mine de n’avoir aucun don. Cette abstinence pour la magie lui avait révélé les vrais sentiments de son grand père. C'est-à-dire aucun.

Arion n’avait que trop traîné au sein d’un groupe composé essentiellement de mage. Quittant la contrée où il avait vu le jour. Il s’avait de quoi serait fait son destin. Et nul être ni même Haralas ne pourrait s’élever contre lui.











Copyright : Lionel Reina

Un nouveau départ vers l’inconnu.

Le chemin vers un destin méconnu agaçait Arion au plus haut point. Traversant de nombreux villages, il ne savait que faire. Etait il le seul à être aussi indécis. Nul ne pouvait le dire.

Son destin il le connaissait depuis sa plus tendre enfance. Mais il avait refusé de le suivre. Il aurait été un puissant mage tout comme son père et aurait grandis sous l’œil bienveillant de ces parents.

Ne souffrant guère de misère il aurait eu une place confortable dans cette société composé exclusivement de riches et de pauvres.

Un avenir assuré sur lequel il avait craché dessus sans la moindre once de regrets. Vaguant t’el un ombre errante sans but. Arion continuait inlassablement sa marche dans l’espoir d’être confronté à destin.

Une région aride, ou la nature n’avait pas le moindre mot à dire. La mort baignait étrangement ces contrées. Un espace vital qui comblait l’enfant des ténèbres au plus au point.

Tel une ville fantôme, l’absence de bruit et de vie rendait la ville bien triste. Les rayons du soleil ne parvenaient que très difficilement à percer l’immense et épais brouillard recouvrant ces petites villes

S’avançant plus profondément dans un petit sentier, seul un panneau branlant grinçait au rythme d’un vent pourtant inexistant.

Poussant une porte rongée par la crasse, Arion pénétrait dans une petite taverne au combien repoussante. L’homme derrière le bar débarrassait du mieux qu’il le pouvait la crasse sur ces verres.

Deux hommes pauvrement vêtus discutaient calmement au fond de la pièce à l’abri des oreilles indiscrètes. Un autre homme était seul et consultait une sorte de manuscrit. Portant temps en temps son verre à sa bouche, il s’emblait absorbé par le contenu du manuscrit.

Arion ne pouvait l’expliqué, mais il se rendait à la table de l’inconnu avec deux verres dans chaque main. L’inconnu l’invita à s’asseoir et ne le quittait plus du regard.

Il est rare de voir quelqu’un par ici de nos jours. D’habitude, les voyageurs ne s’arrêtent jamais dans ce village. Nous sommes d’après eux, repoussant.

Ils n’ont que faire parmi la simple populace. Même les guerriers se promènent les bsourses remplit d’or et préfère dépenser sans compter pour assouvir le moindre de leurs désir.

Nous ne pouvons leur offrir ce qu’ils cherchent comme vous l’avez sans doute constaté en vous promenant.
dit l’inconnu

Je ne cherche guère à assouvir le moindre désir, je suis juste un errant qui cherche des réponses. J’aimerais passé la nuit dans cette auberge.dit Arion

Oh il n’y a pas foule, vous trouverez la chambre qui vous convient. L’auberge propose une suite, entre nous la seule chambre possédant un lit convenable.

Les rôdeurs ne sont guère appréciés par la population locale si médiocre soit elle. Nous vivons difficilement et nous avons juste de quoi manger. J’aime venir ici afin d’oublier qui je fus autrefois.



Qu’il en soit ainsi, je dormirais cette nuit dans cette petite taverne. Je n’ai que faire de luxe. Cela fait des lustres que je dors dehors à même le sol et que je me nourris que trop rarement de gibiers et de fruits.

Vous semblez bien connaître la région, vous pourriez me faire visiter en échange de quelques pièces ?



Gardes ton argent mon garçon. Tu me payeras à boire. Je suis d’accord allons-y.


Arion et l’inconnu sortait ensemble de la petite taverne.














Copyright : Lionel Reina

Le village de la désolation.

L’atmosphère lourde comme à l’accoutumer régnait sans partage sur le petit village. Tel un cimetière, le silence était omniprésent. Arion pénétrait en compagnie de l’étranger plus profondément dans l’inconnu.

Tel un abysse, la nuit était tombée rapidement. Pour un étranger au village, la panique aurait vite fais de se répandre. L’inconnu accompagnant Arion sortit en toute hâte une bougie garnie d’un socle de verre.

La lumière semblait bien inutile au deux voyageurs car les ténèbres les englobaient littéralement. Le moindre danger aurait été invisible. Ecartant de la main la présence de quelques végétaux, celle-ci devenait de plus en plus présente au fil de l’avancée.

L’homme fit une halte et Arion le percuta de plein fouet. L’homme ignora Arion et poussa une porte qui donnait dans une petite maison.

La maison était dans un état pitoyable, Arion en était persuadé. La maison devait être à l’abandon à la vue de son état. De longues toiles d’araignée égaillaient à leurs façons une pièce bien vide.

Les moindres recoins de la pièce étaient occupés par une épaisse crasse. Un lit de fortune composé principalement de paille se décomposait et dégageait une forte odeur. Arion s’empressa d’ouvrir l’unique fenêtre de la maison afin de rendre l’air respirable.

L’homme l’invita à s’asseoir et Arion accepta sans broncher la place que lui offrait le maître des lieux.

C’est mon chez moi, certes petit et sale, mais j’ai un toit et de quoi manger chaque jour. Mais bon je n’ai guère le temps de nettoyer. Je pars plusieurs jours à la chasse. Vous savez le gibier se fait rare de nos jours dit l’homme parlant d’une voix amicale.

N’avez-vous jamais eu le désir d’aller voir ailleurs. Pourquoi restez vous dans la misère. Vous pourriez peut être trouver du travail dans une ville environnante dit Arion

Tu ne pourrais comprendre mon garçon, je suis né ici et j’aime cet endroit aussi repoussant soit-il. Je ne suis guère sous le joug d’un quelconque empereur. Je n’ai pas de taxe à payer ni de révérence à faire à la moindre personne. Je suis libre de décider dit l’homme.

Je comprends. Avez-vous la foi ? dit Arion.

La foi ? raahhhh laisse moi rire. Ce sont les dieux qui sont responsable de tout les maux mon garçon. J’ai eu la chance dans ma jeunesse de beaucoup voyagé. Les écrits ne mentent que très rarement.

Aussi noble la cause des premiers dieux étaient, le pouvoir les a tous corrompu. Soi disant des êtres de grands pouvoirs dotés d’une grande sagesse. Le pouvoir ils l’ont mais leurs esprits est aussi faible que le nôtre. L’avidité pour le pouvoir fait partie de leur vocabulaire.

Tels de puissants monarques, depuis la nuits des temps ils lancent les humains accomplir leurs méfaits. Ils ne se mélange que très rarement à la populace. dit l’homme.

Arion semblait profondément troublé par les dires du vieil homme. Sa voix sonnait juste, en somme il n’avait pas tord. Son grand-père lui avait fait son éducation et en y repensant beaucoup d’éléments semblaient contradictoire.

Mon garçon ? ça va ? dit l’homme inquiet.

Je vais très bien merci dit Arion tout en portant sa main sur son front humide.

Tu sais mon garçon, je ne dis pas ça sans raison. J’ai donné de mon sang pour une cause qui n’en n’était pas une enfin de compte. J’ai vu des nombreux frères d’armes tombés tout ça pour un bout de pâturage en plus.

Pendant que les vrais hommes mourraient, leurs dirigeants menaient la belle vie. Les dieux ne venaient que très rarement porté leurs soutien.

J’avoue être troublé par ce que vous dites l’ami. Je dois vous dire que j’ai la faculté de lire dans le regard des gens et de voir si ils me mentent. Votre discours sonne juste.

Je suis un fervent d’Haralas, je crois en son combat. Même si pense que une autre voie est possible

Que m’importe en qui tu crois, mais ne viens pas me faire tes tours de magies ici. La magie, arrrrrghhh encore une bien bel invention des dieux !

Je suis le fruit d’un grand mage et d’une grande guerrière, cependant comme vous j’abhorre toute magie







Copyright: Lionel Reina

L’aube fit son apparition rendant les nombreuses bougies inutiles dans la petite pièce occupée par deux mystérieux personnages. Arion quittait son siège et se rendait à présent à la petite fenêtre qui malgré sa petite taille offrait une vue panoramique sur l’ensemble de la sombre ville.

L’étranger consultait toujours le vieux livre et buvait régulièrement quelque gorgée que lui offrait son verre. Arion poussa la porte et quittait à présent la petite maison en saluant son propriétaire.

Je dois partir, merci infiniment pour votre hospitalité et votre clairvoyance. Ce voyage au sein de ces contrées n’était pas en vain, vos dires confirmes ce que je pensais depuis un bon moment, merci. dit Arion tout en refermant la petite porte de la maison.

Jetant un dernier regard derrière lui, Arion se dirigeait à présent vers un splendide destrier arborant une magnifique robe noire. Sur le dos de sa monture, Arion s’en allait à présent vers d’autres horizons, portant avec lui de nombreux ouvrages dont lui avait fait don son ami.

Consultant à la hâte une vielle carte rongée par le temps, Arion s’avait à présent où se poursuivrait son pèlerinage. Sa prochaine destination ne lui était guère méconnue, Arion après de nombreuses années retournerait dans son passé.

Poussant la porte d’une grande maison, le vieux plancher couvert de crasse grinçait sous l’avancée d’Arion. Balayant du regard l’ensemble de la pièce, Arion se dirigeait à présent vers une petite table où se trouvait un vieux bijou.

Ce dernier issu des matériaux les plus nobles était composé entièrement d’or, ornée de nombreuses pièces précieuses. Même le temps ne pouvait gâché la splendeur de ce merveilleux ouvrage.

Que fais tu là tapis dans l’ombre étranger dit Arion d’une voix calme.

Tu es donc revenus après autant d' année ….Arion…..ah ah ah ah

Le temps semble t’avoir épargné, aurais tu peur de te montrer à ton maître ?

Il courait, courait vers les ténèbres. Ces derniers tels de abysses l’engloutissaient petit à petit.

Le désespoir résonnait tel un glas annonçant la fin de toute chose. L’ignorant de plus belle, il lui était impossible de ne pas y penser. Il ne pouvait contenir la douleur qui l’habitait depuis maintenant de nombreuses nuits.

Sa main posée sur son cœur, ce dernier battait intensément ressassant les souvenirs douloureux d’un tragique passé. La tristesse se répandait en lui, le regret tel un nouveau ressentiment s’emparait de lui.

Son cœur emplit des plus nobles sentiments se déchira de désespoir car il ne pourrai plus jamais la revoir. Tel une ombre il errait à présent sans but sur des terres sans relief.

Chaque souffle comparable à des râles lui arrachait des cris de douleurs. Il ne pouvait continué sur cette voie, il ne pourrait tout simplement continué.

La Lune, astre de la nuit baignait ce monde de sa robe blanche, par sa pureté elle dévoilait les moindres secrets qu’on pouvait lui caché.

Tel un témoin il la contemplait et profitant de sa clémence il s’agenouilla devant elle lui accordant toute son attention. Baissant la tête dans l’attente d’une réponse, le silence devenait lourd et blessant.

Nombreux chemins il avait empruntés, la plupart d’entre eux étaient controuvé. Devait il encore se retourner et errer… il n’avait plus d’espoir et était la d’évoluer dans un mystère omniprésent.

Une douce mélodie résonna une dernière fois annonçant le Requiem d’un être déchu.

Fin